Omega a connu un illustre parcours aux côtés des plus grands sportifs de tous les temps en tant que Chronométreur officiel renouvelé des Jeux Olympiques.
S’il est demeuré depuis longtemps le chronométreur sportif le plus envié dans le monde du sport, c’est bien à cause des innovations dont il est maître en matière de précision dans le chronométrage des Jeux Olympiques. Découvrez en plus sur comment la maison horlogère suisse s’est fait une réputation qui perdure encore de nos jours !
1932, année d’enracinement de l’héritage olympique d’Omega
De toute l’histoire du chronométrage des Jeux Olympiques, il n’était encore jamais arrivé qu’une seule et même maison d’horlogerie ait eu l’honneur de chronométrer les Jeux Olympiques dans son intégralité. Ce fût le cas d’Omega à Los Angeles. Cette année-là, il a envoyé un seul horloger couvrir toutes les épreuves avec 30 chronographes performants certifiés par l’Observatoire de Neuchâtel.
Ce fût une prouesse pour la maison chronomètre qui pouvait, déjà à l’époque, enregistrer les résultats au 1/10 de seconde. Cette précision du chronométrage se révéla fort avantageuse pour Omega parce qu’elle marqua le début d’une longue collaboration qui se poursuit encore aujourd’hui.
1948
Omega présenta, aux Jeux Olympiques de Londres, la Magic Eye, la première caméra photo-finish conçue par la Race Finish Recording Company. Cette technologie révolutionna l’univers du chronométrage sportif, car elle permit de déterminer une bonne fois pour toutes, la position précise des athlètes qui franchissent presque en même temps la ligne d’arrivée.
La caméra photo-finish servit lors de la finale de 100 mètres pour déterminer qui des deux athlètes Harrison Dillard et Barney Ewell arrivés sur la ligne à 10,3 secondes était le vainqueur. L’américain Dillard est sacré vainqueur et reçoit la médaille d’or.
Le succès de cette technologie conduisit Omega et le fabricant britannique Race Finish Recording Company à présenter l’Omega Racend Timer l’année suivante.
1984
Cette année-là aux Jeux Olympiques de Los Angeles, Omega présente son premier dispositif de détection des faux départs. Le système devait mesurer la pression exercée par les athlètes contre les starting-blocks et celle utilisée par les nageurs pour se propulser.
La détermination du temps de réaction du sportif après qu’il s’est propulsé vers l’avant se faisait dès l’instant où il exerçait une pression de 29 kg (pour les hommes) et 27 kg (pour les femmes). Le temps de réaction accepté était de 0,100 seconde, ce qui permettait au système de détecter les faux départs dans les plus fins détails.
2016
Rio de Janeiro a organisé cette année les Olympiades. Cette année encore et ce depuis 1932, Omega avait pour mission de chronométrer les compétitions des Jeux Olympiques. Pour l’occasion, la marque mobilisa 450 chronométreurs et 480 tonnes d’équipements parmi lesquels figurait la Scan’O’Vision MYRIA, une caméra photo-finish avec une capacité d’enregistrement par seconde de 10 000 images.
L’ambassadeur de la marque, le légendaire champion olympique Michael Phelps remporta, à Rio 2016, 5 médailles d’or et une en argent complétant son palmarès.
2022, 90 ans de chronométrage sportif
Les Olympiades de Beijing ont permis à Omega de célébrer ses 90 ans de passion pour le chronométrage olympique. Les Jeux d’hiver ont connu la présence effective de la maison chronomètre avec 300 chronométreurs ainsi que des équipements de haute précision (près de 200 tonnes).
Omega réalise ainsi le rêve olympique de plusieurs athlètes venus de par le monde, même ceux qui pratiquaient déjà la nouvelle discipline intégrée aux Jeux Olympiques qu’est le monobob.